Tu chantes les louanges et tu brises tant de désespoirs !
As-tu un hymne à ta gloire ? Le monde est pourtant ton auditoire
Sans toi, ni danse et points de danseurs pourtant les athlètes de Dieu
O combien serions-nous vidés de notre essence sans tes airs merveilleux ?
A Venise, tu serais le pont des souvenirs ; à chaque instant tu nous offres une douce mélodie
Le romantique serait orphelin en ton absence, ni de Maud majeur ni de symphonie
Comme un monde sans vent, tout serait sans vie sans ton murmure, ton grondement, ta vibration
Tu es la vie et tu nous accompagnes, tu es comme nous au fond, cette humaine incarnation
Qui es-tu ? Magique, torturée, géniale, impétueuse, violente, sublime et divine
Telle la femme que j’aimerai jusqu’à la fin de mes jours, seras-tu là à mes côtés pour un baiser ultime ?
Jacques Prévert disait : « L’amour de la musique mène toujours à la musique de l’amour ».
En dépit du meilleur et du pire, notre nature même, harmonie ou cacophonie, vivons et aimons, le temps passe, il est sans retour